Provehito in Altum
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 il s'appelait raphaël. (ec)

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Raphaël Farnham

❝ Raphaël Farnham ❞


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il s'appelait raphaël. (ec) _
MessageSujet: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 16:57

il s'appelait raphaël. (ec) 2ur44t3
Raphaël Farnham, ft. luke grimes.
AGE
Vingt-six ans en apparence, trente-huit en réalité.
OCCUPATION
Garagiste.
ORIGINE
Américaines.
GROUPE
Sumus boni, sed timidus.


« Mourir en combattant, c'est la mort détruisant la mort. Mourir en tremblant, c'est payer servilement à la mort le tribut de sa vie. » — William Shakespeare.
ҳ̸ you gonna bite the dust
- Dis, tu es comme ça même quand je ne suis pas avec toi ? Non, parce que, c’est pas que je t’aime pas tu comprends, je t’aime bien t’es gentil, pas trop méchant. Quoique un peu moqueur quand même. Enfin, tu vois, il y a cette distance entre toi et moi, en ce moment. Mais, elle n’est pas présente qu’aujourd’hui, oh ça non. Elle est là, toujours. Chaque fois que je te vois, que je te croise, que je te parle. Chaque fois que tu me parles, aussi. - De quoi tu parles ? On est même pas à trente centimètres l’un de l’autre là. Si c’est ça que tu appelles une « distance »... Tu es en manque d’affection, en fait, tu veux que je reste collé à toi vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Si c’est ça, tu peux le dire clairement, tu sais. Mais, sache que je refuserai, parce que ça serait trop ambigüe pour moi, pour le coup. - C’est bien ce que je disais… Moqueur. Non, ce n’est pas de ça dont je te parle Raphy. Pas du tout. Et si j’étais en manque d’affection, ce n’est sûrement pas dans tes bras que j’irais me jeter, sûrement pas, justement à cause de cette distance. Me regarde pas comme ça. Je suis persuadée que tu comprends très bien ce que je veux te dire, sauf que tu veux pas l’admettre. Parce que ce serait admettre que je t’ai parfaitement cerné. Or môsieur a sa fierté, il chérit son espèce de pseudo-côté mystérieux. Passons. Par distance je veux dire que tu restes souvent à l’écart. T’aimes pas trop t’impliquer, que ce soit dans les sorties en tout genre comme dans les discussions. Et si tu t’impliques, car parfois, même si c’est très rarement, tu t’impliques, je l’admets volontiers, et bien dans ce cas-là tu ne dévoiles rien sur toi, sur ta vie, ton vécu. Tu sais d’habitude, les gens, ils parlent d’eux quand ils discutent. A un moment ou à un autre, ils en reviennent toujours à eux. J’ai toujours pensé qu’on était tous un peu égocentrique au fond. Mais non, toi, tu dis ce qui va et ne va pas, tu restes toujours très objectif - sauf dans les cas vraiment très très particuliers - la subjectivité c’est pas ton truc je crois. Honnêtement, parfois j’ai l’impression d’avoir affaire avec un robot, qui déballe des phrases toutes faites comme ça, des vérités pourries pour combler les vides, de temps en temps, histoire de pas laisser crever la conversation. C’est la première fois que je rencontre quelqu’un comme ça. - Tu trouves que je parle comme un robot. C’est ça que tu me reproches, en fait. Personnellement, je ne trouve pas, mais bon, pourquoi pas. – N’importe quoi. Écoute quand on te parle. C’était une métaphore. Tu prends tout au premier degré, ce que ça peut-être exaspérant. – Et je peux savoir depuis quand tu fais dans la métaphore toi ? En tout cas, tu devrais arrêter, parce que c'est foireux. – Va te faire foutre Raphy. Et détourne pas le sujet, s’il te plait. Je sais que tu es très doué pour ça, dès que quelque chose te va pas : paf ! tu changes de sujet. T’es plutôt habile dans ce domaine-là, on sent les années d’expérience. Si tu veux mon avis, tu es un introverti. Un gars qui garde tout pour lui, qui encaisse tous les coups qu’on lui porte, tout le temps. Depuis quand tu es comme ça, dis-moi. Ça date de quand tu étais gosse ? C’est pas très sain, je trouve. Ça te dirait pas de te livrer là. Je suis très à l’écoute tu sais. – A l’écoute, hein. Pour l’instant j’ai plutôt l’impression d’avoir affaire à un moulin à parole, pas à une fille « à l’écoute ». De toute manière, je n’ai absolument rien à livrer. Ta théorie bancale sur ma personnalité s’avère totalement fausse. Désolé de briser tout tes espoirs, mais tu feras tes expériences de pseudo-psychanalyste sur quelqu’un d’autre. – Tu démens. Sauf que tes yeux, ils me disent que j’ai raison. Ils me disent que je viens de foutre un uppercut sur ton armure et que je l’ai carrément démolie. Tu ne peux pas nier cette distance. Tu ne peux tout simplement pas. Ni le fait que tu ne parles jamais de toi, je suis quasiment toujours avec toi et je ne sais absolument rien de ta vie d’avant, de quand tu étais vivant, ni de comment tu es mort, parce que t’es plus jeune que moi, alors ça devait pas être une mort naturelle. Moi, je suis morte, j’avais trente et un ans, toi vingt ans je suppose, nan, vingt-cinq plutôt. C’est pitoyable, je sais même pas ton âge Raphy. Même pas ton âge. – Parce que tu ne me l’as jamais demandé. – Alors... tu es mort à quel âge ? – Vingt-six. – Ah ! J’y étais presque, preuve que mon intuition et mes observations n’ont rien de bancal. Je pense que t’aimes pas trop t’attacher aux choses et aux gens aussi, c’est pour ça que ton appart est complètement vide. Tu chéris beaucoup ton indépendance, ta liberté. Je ne pourrais pas moi, je me sentirais très seule à force, je déteste la solitude. Toi, pour une raison X, à chaque fois que je te vois, tu es seul. Ou alors si tu es avec quelqu’un, on en revient toujours à la même chose : tu es distant. Vraiment. A mon avis, c’est devenu une habitude, et tu ne t’en rends même plus compte. Au fond, je trouve ça plutôt triste. – Oui, j’aime mon indépendance, et alors ? Tu m’énerves. – Énerves-toi alors. Qu’est-ce que tu attends ? Crie, hurle, tape, je sais pas, fais quelque chose. Les gens énervés montrent leur colère. Par la violence généralement. – Tu attends quoi, au juste, toi ? Tu veux que je sois violent, que je te frappe. C’est très con, tu sais. La violence, c’est pour les brutes, les bourrins, ceux à qui ils manquent une case. Faire preuve de maturité, c’est se refréner, pouvoir s’arrêter tant qu’il en est encore temps. – Tiens, tu ne serais pas un peu pacifiste aussi, sur les bords ? En fait, ton plus gros problème à toi Raphy, c’est ta maturité justement. Être trop mature, c’est pas sain, vraiment pas, si tu veux mon avis. C’est comme une maladie, un truc incurable dont tu ne peux pas départir. Une fois installée, elle ne s’en va pas, la maturité. – Si tu le dis… Je commence à te faire chier, pas vrai ? Alors, DIS-LE ! Bordel. L’introversion c’est bien pire qu’un simple problème de communication. – Tu m’emmerdes. Et figures-toi que je dis ça de manière totalement subjective. Parce que ça n’engage que moi, tu vois. Quoique, je suis sûr que tout les gens autour de nous en ont ras-le-bol, eux aussi. Ça se voit. Alors, arrête ton foutu portrait moral. On est censé aller à la boulangerie, oui ou merde ? – Merde. Le pain attendra. Tu me fais bien rire, parce que même quand tu tentes de t’énerver, tu te casses la gueule lamentablement. Enfin bref. J’arrête. Je sais que j’ai raison, et toi aussi. Aha. Je me sens vraiment intelligente pour le coup. Oh, fais pas cette tête, on dirait que tu vas à un enterrement. Je te connais plutôt bien maintenant, pas la peine d’essayer de me cacher quoi que ce soit. Laisse tomber ta facette cachée, et dis-moi tout, raconte-moi ta vie. En long, en large et en travers. – Ta gueule, Norah. S’il te plait. - … Même pas capable d’être vulgaire, il fallait absolument que tu rajoutes un « s’il te plait », c'est désespérant. Ok, c’est bon, je dis plus rien. J’arrête, j’ai dis. Désespérant.

ҳ̸ steady, watch me navigate
Donne-nous cinq caractéristiques concernant ton personnage en passant par l'accro au vernis rouge ou bien au gars totalement geek n'arrivant pas à s'assumer. Tes petits secrets seront alors dévoilés au grand jour... laisse donc parler ton imagination débordante.
Vous pouvez ne pas développer et seulement faire une liste de caractéristiques (traits de caractères, goûts, amis...), comme vous pouvez organiser cette section en catégories et rédiger quelques phrases explicatives sur chaque point (phobies, manies, tics ou encore peurs.) [Texte à effacer lors de la rédaction de votre présentation.]
écrire ici

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écrire ici

écrire ici

écrire ici

ҳ̸ we are your captains in it
Je suis le monstre qui dort sous ton lit mais je t'en prie, appelle-moi Emma. On m'a souvent dit que je ne faisais pas mon âge, pourtant j'ai 16 ans et j'ai encore toutes mes dents ! Et sans rire, si je suis arrivée ici c'est simplement que j'ai suivi la fée clochette l'autre nuit, même si en réalité j'ai découvert ce forum via Bazzart. Après observation je dois avouer que, SAPERLIPOPETTE, il est franchement magnifique, en plus de ça je dois remercier misery angel pour son art en libre service. Arf, je peux pas m'en empêcher, je dois vous l'avouer : en fait, je m'appelle Georges, je suis perturbé, complexé, et très frustré surtout, j'ai cinquante-neuf ans, je suis pédophile, je viens tous vous embobiner et vous kidnapper, mais chut, c'est un secret hein.


Dernière édition par Raphaël Farnham le Mer 17 Nov - 17:44, édité 4 fois
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Raphaël Farnham

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 16:58

ҳ̸ with a sunshine in a bag

il s'appelait raphaël. (ec) 5xlop5

Il leur avait pourtant promis, il avait même juré sur la tombe de ses grands-parents : non, il ne fumerait pas. Jamais. Le tabac, c'est mal, ça tue. Ça rend les dents jaunes et ça empêche de courir plus de cinq minutes sans être essoufflé. Il avait pris cet air formel, cet air qui voulait dire je n'ai jamais touché à une cigarette et je ne le ferais jamais, non mais oh, pour qui me prenez-vous ? Avec cette petite moue indignée qui ressemblait plus à une grimace qu'à quoi que ce soit d'autre. Mais, à vingt-trois ans, il avait fait l'Erreur, avec un grand E. Celle qu'il ne fallait pas faire, celle qui en avait anéanti tant d'autres avant lui. Oui, il était tombé amoureux. Pour la première fois de sa vie, pour la dernière aussi, c'est une des nouvelles choses qu'il s'est promis, sur sa propre tête cette fois-ci : plus jamais il ne tomberait amoureux. Elle était belle, très belle. Le seul problème, le hic par excellence était qu'elle en avait parfaitement conscience. Ses charmes, elle en usait, à tord et à travers, dans n'importe quelle situation. N'importe où, n'importe quand, avec n'importe qui. Et lui, petit homme naïf qu'il était, avait cru avoir décroché le gros lot, le jackpot. Il avait cru en l'Amour. L'amour qu'il éprouvait pour elle et qui s'était révélé être à sens unique. Il était tombé de haut, de très haut. Le petit paradis idyllique dans lequel il croyait vivre n'était que mirage. Pauvre petite chose, il s'était fait piétiner, écrabouiller par des talons aiguilles de quinze centimètres. Et alors, il y avait eu cette autre fille, au bar, qui, voyant son air misérable, avait prononcé cette phrase fatidique : "Vous voulez une clope ?" Cette phrase qui avait démolit le peu qu'il restait de lui. Il avait pris la cigarette, elle la lui avait allumée, et il l'avait fumé. Le regard vitreux, la tête ailleurs. Elle s'appelait Naomie, la fille qui venait de le jeter, de le laisser sur le quai de la gare pour faire son propre chemin, toute seule, ou du moins sans lui. Na-o-mie. Un si joli prénom pour une jeune femme aussi abjecte, c'était-il risqué à penser, avant de l'insulter intérieurement, de la traiter de tous les noms, avant de la haïr, brusquement. Comme si cette éventualité s'ouvrait tout à coup à lui, oui, il pouvait la haïr, c'était son droit, elle le méritait. De toute manière elle n'en saurait rien, et n'en aurait sûrement rien à faire. Elle était comme ça Naomie, elle n'en avait rien à faire, de rien ni de personne. Et lui ne faisait pas exception. Puis, il était parti, il avait besoin de prendre l'air, à ce moment-là plus que jamais. Il avait marmonné un merci à cette jeune inconnue et s'était en allé, aussi vite qu'il était arrivé, sans payer. Il avait quitté l'établissement, sans même être remarqué, abandonnant à l'intérieur sa naïveté passée.

« – Ouhouh. Raphaël. Tu m’écoutes quand je te parle ? Raphaël ! – Je t’écoute, je t’écoute. – Non, tu ne m’écoutes pas, arrête de mentir. – Je ne mens pas. – Si, tu mens. – Ok, d’accord, tu veux que je mente ? Alors je mens, si ça peut te faire plaisir. – Comment ça si je veux ? Tu te fous de ma gueule ? – Non. – Bordel, mais tu te fous vraiment de ma gueule. – Je t’ai dit que non. Tu es sourde ou tu le fais exprès. C’est toi qui ne m’écoute pas. – Mais t’es vraiment un enfoiré. – Si tu le dit. – Tu… tu m’énerves ! – Tu t’énerves toute seule, ne rejette pas la faute sur moi. – … Je me casse. – D’accord. »
Celle-ci avait tenu une semaine et demi. Un record. En un an, Raphy le naïf s'était métamorphosé en Raphy le tombeur, le briseur de cœur. Il était devenu une Naomie version masculin, au regard sombre et à la chevelure en pagaille. Une cigarette constamment coincée au coin de ses lèvres. Indirectement, il prenait sa revanche. Parce qu'il en avait besoin, parce que sa fierté n'aurait pu tenir le coup autrement. Il voulait leur faire payer à toutes. Mais surtout à celles qui lui ressemblait, à elle. Il voulait faire payer à toutes ces Naomies, les éradiquer. Peu importe qu'elle ne soit pour rien dans ce qu'il lui était arrivé. Il était comme possédé, comme si l'Esprit Vengeur s'était insinué en lui, sournoisement, mais avec une facilité déconcertante.
Semaine après semaine, il les enchaînait. Il avait acquis une certaine expérience dans l'art de la séduction, petit à petit. Elles étaient tellement futiles, et il était si facile de les amadouer. Cela commençait par de grands sourires, des regards à la fois complices et inquisiteurs, des gestes doux et attendrissant, de petites provocations osées sous un air angélique. Oh, elles adoraient cela. Deux petits jours, et elles étaient déjà dans sa poche, celle qu'il vidait de plus en plus fréquemment. Après quoi, il allait en voir d'autre, même technique, sous leurs yeux. S'amusant à les faire bouillir de rage, se consumer de jalousie. Il s'extasiait devant leurs visages décomposés, déformés par les cris et les pleurs qu'il n'avait aucun mal à ignorer. Puis, il finissait par les ignorer, totalement, répondant à peine à leurs questions, ne participant plus à leurs discussions, affichant une mine dégoûtée dès qu'elles devenaient entreprenante. Il les détruisait et il aimait cela. Parce qu'il en avait besoin, parce que c'était de leur faute, de leur faute à elle. Elles lui ressemblaient, c'étaient de leur faute. De leur faute.


Dernière édition par Raphaël Farnham le Dim 21 Nov - 15:58, édité 8 fois
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Candide Ebëneser Jacob

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 17:02

Bienvenue sur Provehitooooo :D. Raaah Grimes! Mes deux personnages vont te sauter dessus, t'va voir il s'appelait raphaël. (ec) 467113
Comme je l'ai dis à Muse, qui veut Ed bien que ce soit aussi valable pour Luke, il est dans les propositions pour un des pv des Sisyphe, celui-là. Tu peux très bien garder Luke sans prendre Phoebus, mais je préfère te le signaler si jamais tu pourrais être intéressé, étant donné qu'on a besoin d'un maximum de pv :)
Mise à part ça, si tu as des questions n'hésite pas :D Et moi, Georges, je me le fais il s'appelait raphaël. (ec) 561568
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Raphaël Farnham

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 17:25

Bah écoute, me faire sauter dessus par KStew et Jake Abel (?), ça me dérange pas plus que ça il s'appelait raphaël. (ec) 79832 . Et puis, je me suis préparée ; avec Grimes, c'était inévitable. il s'appelait raphaël. (ec) 561568 Arrow
Et bien ce Phoebus est pas très loin de l'image que je me fais de Raphaël (je prends jamais le temps de lire les PVs, honte sur moi). Donc, ça pourrait le faire. Je vais y réfléchir encore un peu, voir ce que dit Muse parce ce que j'aime pas être en concurrence avec quelqu'un sur une fiche, et puis je te dis.
Pas de questions pour le moment. Et, c'est Georges qui va être content, il est justement là pour ça. il s'appelait raphaël. (ec) 831483

Ah, puis j'oubliais, merci hein, au passage. x)


Dernière édition par Raphaël Farnham le Sam 13 Nov - 19:26, édité 1 fois
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Candide Ebëneser Jacob

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 17:27

OUAIS c'est Jake Abel What a Face Et bah écoute, c'est parfait si ça te dérange pas (a). Non sérieux garde moi un super lien :P surtout que Candide est célibataire..
Pas de sushis, tenez nous donc au courant :D.
HAHA! Mieux que la pilule bleue, j'te dis :P
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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 17:43

Je sais plus où est-ce que je l'ai déjà vu... Ça doit être Supernatural, me semble. Oki doki pour le lien, avec plaisir ! ah, c'est sûr que dans ce cas, on peut s'arranger (a)...
Je dirais même plus : Bien mieux que la pilule bleue ! il s'appelait raphaël. (ec) 183288


Dernière édition par Raphaël Farnham le Sam 13 Nov - 19:25, édité 1 fois
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Candide Ebëneser Jacob

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 17:53

Oui, il a joué dans Supernatural, Adam (a). Arrangeons nous alors il s'appelait raphaël. (ec) 831483
Haha, normal, c'est CANDIDE quoi il s'appelait raphaël. (ec) 831483
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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 18:40

when you want il s'appelait raphaël. (ec) 625837
LE contraste quoi x).


Dernière édition par Raphaël Farnham le Sam 13 Nov - 19:25, édité 1 fois
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Candide Ebëneser Jacob

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 18:41

MPotte moi, histoire qu'on fasse nos cochonneries il s'appelait raphaël. (ec) 831483
Mais TO-TA-LE-MENT quoi What a Face
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Woody Ian Sattle

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 19:00

Bienvenue :D !
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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 19:31

Candy, voilà qui est fait il s'appelait raphaël. (ec) 831483 .
Merci Woody. C'est normal que je vois pas ton avatar ? :O Sinon, Jensen, c'est un choix génial I love you . Ce mec est juste il s'appelait raphaël. (ec) 78581 . edit; ah si, j'le vois maintenant Laughing Arrow .
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Katniss Black-Ayling

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 19:34

Bienvenue et bonne chance. I love you
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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 19:37

Thank you. I love you
Oh, Katie. Ses yeux ont toujours eu le don de me faire flipper, c'est horrible. Ils me font penser à ceux d'un serpent. o.o
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Katniss Black-Ayling

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 19:39

Qu'est-ce que ça doit être les miens alors. Laughing Arrow
De rien en tous cas. I love you
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Raphaël Farnham

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 19:42

Mais, je la trouve très belle et tout. Mais c'est ses yeux. Ils me donnent des frissons dans le dos. Il ne faut pas chercher. Arrow
Pourquoi, ils sont comment x) ?
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Katniss Black-Ayling

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 20:02

Moi j'adore ses yeux, je sais pas pourquoi d'ailleurs, mais wow.
Aussi verts que les siens, parfois ma mère dit qu'ils sont tels les chats parfois comme des serpents .... C'est pour dire. xD
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Jules K. Emerson

Jules K. Emerson


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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 20:11

J'adore GRIMES il s'appelait raphaël. (ec) 467113
Bienvenue parmi nous I love you
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appoline ruth dutz-morgàn

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 20:51

BIENVENUE, excellent choix d'avatar, et de prénom, car Raphaël ça reste dans le top 15 des prénoms en ce qui me concerne (a). Bref, hate de voir ce que va donner ton personnage et bon courage pour ta fiche. :)
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Raphaël Farnham

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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitimeSam 13 Nov - 21:16

Mais, en général, ça ne me gênes pas plus que ça chez les gens. Sauf que là, elle est bien brune en plus, donc ça ressort vachement. Enfin bref ! Laughing
Jules, c'est limite devenu un prénom courant pour les perso' féminins dans les rps, j'ai l'impression ! il s'appelait raphaël. (ec) 125205 Mais j'aime bien. Merci, en tout cas.
Pour moi Raphaël, c'est LE prénom, avec Enzo aussi. Appoline c'est plus classique déjà (a). J'espère ne pas te décevoir alors, merci :).
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MessageSujet: Re: il s'appelait raphaël. (ec)   il s'appelait raphaël. (ec) Icon_minitime

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